Épisode Episode 7 S01E07 - Engrenages Saison 1

Résumé des épisodes précédents.

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A l'appartement de Benoît Feye entrent Pierre Clément et une femme. Benoît s'étonne de l'heure matinale et demande qui qui arrive. Plusieurs policiers, dont Fromentin, pénètrent dans l'appartement et Fromentin annonce à Feye qu'il est en état d'arrestation pour être entendu dans le cadre d'une enquête pour proxénétisme. Benoît dit ne pas comprendre et demande à Pierre s'il est là pour faire de la figuration. Fromentin s'adresse à Feye disant qu'il peut prendre une douche et s'habiller, mais qu'il sera accompagné. Les deux hommes se dirigent vers la salle de bain. Le procureur quitte l'appartement.

Générique

Laure Berthaud parle avec le père de Benjamin Surrier, son enfant handicapé qui a disparu. Il prétend que c'est son ex-épouse qui est venue le chercher. On apprend que les parents ont la garde alternée de leur fils. Le père voudrait que la police se rende chez la mère de Benjamin pour reprendre l'enfant. Laure suggère qu'il est possible que ce soit un kidnapping, ce que refute Surrier. Laure lui demande l'adresse de son ex-femme.

Elle le quitte et entre dans le bureau de Gilou qu'elle envoie au domicile de la mère. Gilou demande si sa période de punition est terminée. Laure répond qu'elle espère pouvoir lui faire confiance.

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Laure et Fromentin vont retrouver Benoît Feye qui est en cellule. Il demande un avocat, mais Fromentin lui rétorque que dans les affaires de proxénétisme, le délai nécessaire est plus long et qu'il sera interrogé par des collègues spécialisés dans ce type d'affaires.

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Gilou rencontre le Roumain auquel il annonce que Benoît a été placé en garde à vue. Michel veut lui remettre sa dose de drogue. Gilou refuse et dit que c'est terminé, mais le Roumain ne l'entend pas de cette oreille et lui dit que sa dette n'est pas éteinte, que Gilou ne saura jamais le rembourser et qu'il s'adressera à son amie, ce qui ne sera pas facile pour elle. Il ajoute qu'il veut être prévenu lorsque Feye sera relâché et prévenu avant qu'il le soit.

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En présence de Laure, Clément interroge l'ex-madame Surrier qui est persuadée que son ex-mari a fait disparaître leur fils. Elle dit savoir qu'il a tué Benjamin et qu'ensuite, il a fait disparaître le corps. Clément lui demande si elle en a la preuve, mais elle répond que non. Elle ajoute que Surrier l'a obligé à avorter lorsqu'il a appris que leur premier enfant était une fille et que ce second enfant, handicapé, il en a honte. Le procureur s'étonne que le commissaire-priseur ait demandé dans ce cas la garde alternée. Mme Surrier est certaine que c'était pour l'humilier elle et lui faire du mal.

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Monsieur Surrier est interrogé par Clément, toujours en présence de Laure. Il nie avoir tué son fils, qu'il n'avait aucune raison de le faire alors que l'enfant compte beaucoup pour lui, qu'il a l'argent nécessaire pour l'éduquer et le soigner. Lorsque le Procureur l'interroge sur l'avortement, il explique qu'il ne voulait pas d'une fille car sa femme est juive et que dès lors, ses petits-enfants auraient été juifs, la religion se transmettant par la mère.

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Laure sort du bureau et s'en va un peu plus loin dans le couloir. Le père et Clément se quittent devant le bureau. Le Procureur rejoint Laure et lui dit qu'il ne croit pas à l'enlèvement par des étrangers. Elle non plus. Ils regardent le commissaire-priseur q ui a rejoint son ex-femme et qui quittent ensemble le commissariat. Clément dit qu'il 'agit d'un drôle de couple. Berthaud lui demande les raisons de l'arrestation de Feye. Elle pense qu'il a profité de sa position pour agir, afin de protéger sa belle-famille. Ils se quittent.

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Joséphine Karlsson entre dans le bureau de Vincent Leroy et lui demande s'il a lu son dossier. Ils en discutent. Leroy lui dit qu'il s'agit d'une affaire comme la sienne.

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Un policier interroge Feye qui reconnaît avoir remis de l'argent à Elina Andrescu, sa maîtresse et amie, pour payer son loyer. Pour le policier, il s'agit plutôt d'argent pour payer le loyer de l'endroit où elle exerçait sa profession et que dès lors Feye est son proxénète. Benoît se lève et se dirige vers la glace sans tain derrière laquelle il se doute que se trouvent le procureur et la police. Le policier montre à Feye des photos de son "collègue", Michel le Roumain et demande s'il le reconnaît. Benoît refuse de continuer l'interrogatoire, mais le policier lui pose encore des questions.

Le Procureur qui suivait effectivement l'entretien dit à Laure de cuisiner encore un peu Benoît, puis de le libérer.

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Joséphine rencontre son client en prison. Celui-ci nie le viol et prétend que son amie a voulu se venger parce qu'il a rompu leur relation. Karlsson lui demande s'il en a la preuve; il répond qu'il a des lettres qui sont chez sa mère.

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Vincent Leroy a lu toutes les lettres et les a classées en deux catégories : celles où elle menace leur client, celle où elle dit souffrir de la fin de leur relation. Dans l'une, elle dit avoir trouvé le moyen de se venger.

Leroy regrette que dans son affaire, il n'ait pas u de telles lettres car il serait encore avocat et ajoute qu'il regretterait de ne pas avoir connu Joséphine, ce qui ne plaît pas à Karlsson.

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Berthaud annonce à Feye que sa garde à vue est terminée, qu'il est libre. Elle lui suggère de coopérer, de dire ce qu'il sait sur les meurtres des deux femmes. Pour Benoît, ce ne sont pas deux meurtres, mais un meurtre et un suicide. Elle lui montre une photo d'Elina morte. Feye accuse le coup mais ne veut toujours rien dire et ne croit pas qu'il soit le suivant sur la liste, comme lui dit Laure.

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Laure est dans un couloir du commissariat et dit à Gilou que Feye est libéré, mais que c'est une tactique : lorsqu'il aura repris confiance, il sera mis en examen par le juge d'instruction. Gilou s'assied à son bureau et annonce qu'il y a du nouveau dans l'affaire Surrier, un voisin ayant vu le père prendre sa voiture en pleine nuit; il était seul. Berthaud demande de le convoquer, Gilou répond que c'est fait, que le père est là. Laure le quitte.

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Michel est chez Arnaud Laborde qu'il informe du coup de téléphone de son informateur. Laborde pense que si Feye est libéré, eux seront donc tranquilles. Mais Michel dit qu'il s'agit d'une ruse pour le faire craquer et qu'il y a une chance sur deux pour que Feye les dénonce. Dans ce cas, répond Arnaud, il faut l'éliminer par n'importe quel moyen, de préférence comme s'il s'agissait d'une vengeance.

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Berthaud a interrogé le père qui a avoué avoir menti, qu'il est effectivement sorti dans la nuit, mais que c'était à la recherche de son fils car il était persuadé de l'enlèvement par sa femme. Berthaud regarde l'enregistrement de cet interrogatoire avec le juge Roban. Ils discutent de l'affaire mais ne sont toujours pas convaincu de la culpabilité du père, d'autant plus qu'ils n'ont aucune preuve. Roban suggère de demander à Mme Surrier d'enregistrer son mari car même si cela n'a pas de valeur légale, ils sauront par où chercher.

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Surrier vient retrouver son ex-épouse dans un hôtel; il demande pourquoi elle a voulu qu'il vienne la rejoindre à cet endroit, mais elle ne répond pas; au contraire, elle l'aguiche. Il la retourne et la pénètre. Pendant l'acte, elle l'interrompt, lui pose des questions sur leur fils et il reconnaît l'avoir tué, sachant que c'était ce qu'elle voulait qu'il fasse, et lorsqu'elle demande où se trouve le corps, il rétorque que l'important est qu'ils se soient retrouvés.

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Le Roumain téléphone à Benoît d'une cabine publique, lui demande s'il est seul et dit qu'il veut passer le voir.

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Un peu plus tard, Michel sonne à l'appartement tout en armant un revolver; lorsqu'il voit quelqu'un regarder par le judas, il tire.

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Clément, Berthaud, Gilou et une équipe scientifique sont dans l'appartement de Benoît. Ce dernier est effondré : c'est l'aide ménagère qui a voulu ouvrir la porte et qui a été tuée. Benoît répète plusieurs fois qu'il ne savait pas qu'elle était rentrée.

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Gilou se rend aux toilettes; il est si perturbé qu'il veut se suicider. Il charge son revolver, pointe le canon sous son menton... et sort.

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Le Procureur interroge Feye au Palais de Justice. Il veut savoir pourquoi son ami le Romain a voulu le tuer. Benoît répond que ce n'est pas un ami. Clément lui annonce que Michel est introuvable, qu'il a quitté son hôtel, rendu sa voiture et changé de portable. Feye suggère de le faire rechercher. Pierre lui conseille de tout dire, mais Benoît estime que c'est impossible tant que Michel est en liberté et qu'il dira tout lorsque le Roumain sera arrêté. Le Procureur dit que dans ce cas, il ne peut plus l'aider et lui explique ce qui va se passer.

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La victime du viol arrive, avec son avocate, sur les lieux de la reconstitution. Celle-ci essaie de rassurer sa cliente. Roban est aussi sur les lieux, avec Berthaud et son équipe, ainsi que le Procureur Clément. Le présumé coupable arrive en voiture avec Joséphine, son avocate. Ils sont hués par la foule.

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La reconstitution commence. La victime explique et répond aux questions de Roban. Cela ne se passe pas trop bien car Roban la bouscule et elle s'énerve lorsque le juge d'instruction lui demande des précisions. Vient ensuite au tour de Flatrian de donner sa version des faits. Il refait les gestes à l'aide d'un mannequin, ce qui amuse Fromentin et Gilou. Des invraisemblances apparaissent. Roban clôture la reconstitution et estime que Flatrian a menti et que la partie civile a dit la vérité.

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Gilou reconduit Flatrian au véhicule.

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Laure sermonne Fromentin car lui et Gilou se sont amusés durant la reconstitution, ce qui a mis la victime mal à l'aise. Fromentin répond que s'ils ont ri, c'est que Gilou va mieu et qu'il préfère le voir dans état.

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De son côté, Me Karlsonn  s'attaque au juge d'instruction disant qu'il a bien manoeuvré en s'acharnant d'abord sur la victime de façon à mettre son propre client en confiance, mais Roban pense qu'il a juste fait son travail. Il la quitte et rejoint Clément à qui il demande de le raccompagner. En chemin vers la voiture, il lui demande ce que Pierre pense de l'affaire Surrier, si le mobile du meurtre est crédible. Il ajoute qu'il va mettre le père en examen, mais que pour lui, la mère n'est pas nette non plus. Cela fait sourire le Procureur. Roban lui demande ce qu'il y a de drôle et Pierre répond qu'avec lui, les femmes deviennent vite suspectes, qu'il est légèrement misogyne, et va jusqu'à lui demander s'il a des problèmes avec les femmes. Roban rétorque "Pourquoi ?, Pas vous ?".

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Benoît, en compagnie d'autres détenus et notamment Surrier, sont conduits vers un fourgon pour rejoindre la prison. Dans le véhicule, Surrier déclare à Feye qu'il espère retrouver un jour son fils.

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Une voiture s'arrête à proximité d'une maison assez isolée. Joséphine en descend. Elle entre dans la maison où elle est accueillie par une femme qui la conduit au jardin, où l'attend une jeune femme atteinte d'un cancer et en phase terminale. Elles se saluent. La malade demande si Joséphine est envoyée par Vincent Leroy. Joséphine répond que Leroy n'est pas au courant de sa démarche. La malade espérait le contraire du fait que Karlsonn est sa collaboratrice. La malade ajoute qu'elle a écrit plusieurs fois à Leroy, qu'elle lui a aussi téléphoné, mais qu'il n'a jamais donné suite à ses lettres et qu'au téléphone, il raccroche lorsqu'il reconnaît sa voix. Avant de mourir, elle souhaite que le procès de Leroy soit révisé car elle a menti et qu'il n'y a pas eu de viol. Elle donne ses motivations et ajoute que du faux viol est né un fils mais que Vincent ne le sait pas. Elle demande à Joséphine de l'aider.

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Gilou est chez son amie. Ils sont drogués. Ils s'embrassent. La fille sort. Gilou prépare une seringue et se fait une piqûre; la fille entre, lui parle, Gilou lui dit qu'elle est belle et tombe évanoui. Il a fait une overdose. Vanesse tente de le récupérer, sans succès. Affolée, elle court à la pharmacie mais le préposé ne veut d'abord pas ouvrir. Finalement, le pharmacien la suite à l'appartement pour lui faire une piqûre d'adrédaline, mais devant ses hésitations, Vanessa s'empare de la piqûre et la fait à Gilou qui revient à lui. Il est transporté à l'hôpital.

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Joséphine explique à la personne malade qu'elle a préparé un document que celle-ci devra signé et qu'en plus, elle va enregistrer sa déclaration par vidéo. La malade a préparé tout un dossier qu'elle remettra à Karlsonn. L'enregistrement commence.

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Feye est en prison. Clément est venu lui rendre visite. Benoît le supplie de le sortir de là. Pierre répond qu'il faut d'abord qu'il parle, ce que va faire Feye. Il lui dit que c'est Laborde qui a fait subir les atrocités à Sofia et que Michel est probablement son assassin. Le Procureur semble sceptique car Michel est toujours introuvable et Laborde est intouchable. Benoît lui donne d'autres renseignements.
Clément quitte la prison.

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Laure a rejoint Gilou qui a pu sortir de l'hôpital sous la garde de Berhauld. Gilou dit qu'il a honte et il pleure. Laure le console et dit qu'elle va l'aider.

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Berthauld retrouve Clément à la terrasse d'un café. Elle lui dit que c'est sûrement le Roumain qui a tué la jeune fille mais qu'elle ne peut pas citer ses sources et que c'est aussi ce Roumain qui a voulu tuer Feye. Le Procureur répond que c'est aussi la version de Benoît, mais que celui-ci lui a tellement menti qu'il hésite à le croire. Berthauld veut qu'il fasse libérer Benoît. Pierre lui donne raison et dit qu'il le fera.

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Dans les prisons, les détenus reviennent de la promenade. Un homme demande une cigarette à Benoît qui s'arrête et dit qu'il ne fume pas; un autre prisonnier lui enfonce un tournevis dans le dos. Benoît Feye s'écroule.

Fin de l'épisode.